mardi 22 janvier 2013

Joyeux 2013 !

 
Vite vite, plus que quelques jours pour mes bonnes résolutions ! Donc, en 2013...









.... je serai honnête : je vais cesser de piquer des fournitures au bureau.
...je serai chic : je vais m'acheter un beau jogging, et cesser de courir dans mon vieux pyjama (qui ne ressemble à un suvêt' que dans ma tête).
...je serai sportive : j'irai courir plus d'une fois par an.
...je serai adulte : j'irai chez le dentiste.
... je serai rigoureuse : je mettrai la bonne quantité de chocolat (et pas 10 fois plus) dans mes gâteaux, j'attendrai 20 mn et pas 45 mn à chaque colo de cheveux, je ne serai plus à découvert sur ma carte de cantine.
...je serai gentille : je n'irai pas raconter aux fans de Downton Abbey qui n'ont pas encore vu la  troisième saison que Mattew, le beau gosse de la bande, meurt à la fin du dernier épisode.
... je serai discrète : je cesserai de fixer tout en bavant d'envie sur les super chaussures et les sacs waouh des filles stylées croisées dans le métro.
... je serai une blogueuse, une vraie : je posterai plus d'un billet par an sur ce blog désert et spammé, avant que Blogger ne décide de le fermer.
...je serai moins stupide : je ferai attention avant de supprimer les spams de ce blog, ça m'évitera d'effacer vos commentaires par mégarde (ce que j'ai fait sur les 5 derniers posts, et je m'en excuse, ça m'attriste énormément, je suis vraiment une bille en Blogger).
... et bien entendu, je serai sérieuse et pour une fois, je tiendrais au moins une de mes bonnes résolutions. Joyeuse année !

jeudi 8 mars 2012

L'homme idéal... en visite à la Droguerie


A l'occasion de la journée de la femme, je ne résiste pas à republier le message posté ce matin par un charmant lecteur sur mon ancien billet En visite à la Droguerie. Un commentaire rédigé par un anonyme qui, visiblement, semble avoir saisi la clé d'une vie de couple épanouie.

(Petit rappel sur ce post : je racontais comment, me prenant pour Isabel Marant (Modelshop-peur de rien), j'avais fait la queue des heures à la boutique parisienne la Droguerie pour imiter les jolis colliers de la créatrice, et comment je me suis sentie piteuse lorsque, mon tour arrivé, je me suis-emmêlé-la-langue-et-les-pinceaux devant des clientes hautaines qui savaient exactement ce qu'elles voulaient et des vendeuses excédées par mes cafouillages de grande-débutante en verroterie qui veut se la péter avec ses colliers Isabel Marant qu'elle ne sait même pas copier).

Amies lectrices, voilà une bien belle histoire, comme on aimerait en lire plus souvent.
Amis lecteurs, prenez-en de la graine.

Et à tous, une excellente journée de la femme !

"Salut les filles !
Moi je suis accompagnateur de la femme de ma vie à La droguerie (et autres lieux de shopping-perdition); la technique : après m'être laissé soudoyer (private) je rentre à la droguerie de Paris (ailleurs je ne connais pas) avec ma copine; JE fais la queue où il faut et ELLE se balade, regarde, réfléchit... et je regarde toutes ces nanas affairées pour patienter sans stress... quand ! C'est mon tour !!! Alors je LA bippe et ELLE se fait servir, sereine et organisée... j'admire... et j'ai droit à plein de bizous (private)..
DONC
LA DRO DE PARIS C'EST MIEUX A DEUX.
Voilà la recette !
Essayez, vous les mecs, vous m'en direz des nouvelles !
Tiens
Choupinette
on irait faire un tour à La Droguerie tous les deux ?
Ouais !
Du pur velours...
J'anonyme, forcément ! "

lundi 16 janvier 2012

Bonne année !


En 2012, adieu papotages et futilités. Modelshop va gagner en sérieux et en crédibilité ! Pour commencer, une petite leçon d'économie. Je vais vous expliquer les raisons du sens inverse des courbes de croissance chinoise et française.

Il y a quelques jours, mon chéri a reçu une carte de bonne année de la part de clients chinois. Décomplexés, ils lui souhaitent « bonheur » et... « prospérité ! »

Moi aussi j'ai eu droit à des voeux ; de retour au bureau après les vacances de Noël, mes collègues parisiens m'ont accueillie d'un tout aussi décomplexé : « Deux mille douze... l'année de la loose ! ».

CQFD. Mes meilleurs vœux à tous !

jeudi 22 décembre 2011

La Redoute n’a pas l’esprit de Noël


Le doré, y a pas plus fashion. Depuis octobre, les filles les plus pointues du bureau se sont complètement boulesdeNoëlisées. Ma chef porte une sublime jupe porte-feuille mordorée, tout à fait waouh, et ma collègue fait sensation dans son slim pailleté furieusement disco (hyper pratique pour la repérer dans la queue de la cantine).

Face à cette offensive de bling, j’ai pensé à ma nièce. Je me suis souvenue du sac polochon « bronze » de La Redoute. Un sac tellement brillant qu’on le croirait taillé dans de la peau de lingot ! Je me suis dit que c’était un chouette cadeau pour ma pré-ado préférée, qui pourrait y glisser ses affaires de danse, par exemple. Et j’ai jugé qu’à 12,90 € le cabas, ça faisait pas cher le présent 24 carats.

Voilà comment, pour la première fois de ma vie, j’ai commandé un cadeau de Noël avec deux mois d’avance.

Mais je me suis trompée dans la commande, et le sac est arrivé… en noir. Tout cheap. J’ai donc tenté de l’échanger. C’est à ce moment que les ennuis ont commencé.

Il m’a fallu appeler cinq fois les lignes surtaxées de la Redoute, pour récupérer un numéro de retour qu’on ne m’a jamais envoyé, affronter l’humeur de chien du commerçant-relais à qui j’ai rendu le paquet sans rien acheter, repasser une commande à un téléconseiller interloqué (drogué ? intérimaire ? viré des 3 Suisses ?) qui m’a fait répéter trois fois tout ce que je lui ai indiqué, renvoyer un mail pour expliquer que je voulais des sous et pas un avoir en guise de remboursement… tout ça pour récupérer l’argent du sac noir et mettre la main sur le fameux sac bronze.

Autant dire que la traque de Kadhafi, à côté, c’était peanuts. Mais les combattants de la liberté ont eu la peau du dictateur Libyen. Alors que le sac de la Redoute… a été livré chez moi, à Paris, et pas à l’adresse de Bordeaux où je compte rester jusqu’à Noël, et que j’avais indiqué à trois reprises au téléconseiller. Donc, cette année, pas de sac doré sous le sapin. Misère. Le SAV de la Redoute, c’est vraiment pas un cadeau. Surtout  à Noël !